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communiqué du 25 mai 2005
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à M. Samuel Schmid
téléchargez la pétition:
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en français (Word)
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en anglais (Word)
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en italien (Word)
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Campagne européenne pour les sanctions contre
Israël :
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Pétition
au parlement fédéral |
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Pour l'application des Conventions de Genève
et du droit international dans le conflit israélo-palestinien.
Non à la collaboration militaire et au commerce
de matériel militaire avec les pays du Proche-Orient.
Non à l'achat de matériel militaire israélien
dans le programme d'armement 2005.
|
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Des violations inacceptables des droits
humains et du droit humanitaire international
La récente réduction des actes
violents et le retrait annoncé de la bande
de Gaza ne sauraient cacher l'aggravation continuelle
de la situation pour la population palestinienne
dans les Territoires occupés. Avec l'extension
des colonies israéliennes, la construction
du mur et l'enfermement de villes et villages,
l'Etat et l'armée israélienne continuent
de violer gravement les droits humains de la population
Palestinienne et le droit humanitaire international,
notamment la quatrième Convention de Genève
(transfert par la puissance occupante d'une partie
de sa propre population civile dans le territoire
occupé, destructions de maisons, punitions
collectives comme le bouclage de régions
entières, torture, détention administrative,
déportations). La résolution 242
du 22 nov. 1967 du Conseil de sécurité
de l'ONU exige de l'Etat d'Israël qu'il se
retire des territoires qu'il occupe. Elle demande
en outre à toutes les parties au conflit
de respecter la souveraineté et l'indépendance
politique de chacun des Etats, donc aussi aux
Etats arabes concernés de reconnaître
à Israël le droit d'exister. De plus,
la plupart des pays arabes continuent à
fouler au pied les droits de l'Homme les plus
élémentaires, refusant à
leurs citoyens la liberté d'expression
et emprisonnant arbitrairement les opposants politiques
non-violents. La torture et les mauvais traitements
sont chose courante dans toute la région.
L'engagement pour une solution pacifique
doit être authentique et crédible
Après une phase de "réserve"
relative dans la collaboration militaire avec
Israël, le Conseil fédéral
a décidé d'inclure dans le programme
d'armement 2005, l'achat pour 150 millions de
francs de matériel militaire en provenance
d'Israël. En agissant de la sorte, il met
en péril la crédibilité de
sa politique étrangère. La Cour
Internationale de Justice, soutenue par la Suisse,
rappelle que "tous les Etats sont dans l'obligation
de ne pas prêter aide ou assistance au maintien
de la situation créée par la construction
du mur" et que "tous les Etats parties
à la convention de Genève relative
à la protection des personnes civiles en
temps de guerre, du 12 août 1949, ont l'obligation,
dans le respect de la Charte des Nations Unies
et du droit international, de faire respecter
par Israël le droit international humanitaire
incorporé dans cette convention".
L'engagement de la Suisse, dépositaire
des Conventions de Genève, pour l'application
du droit humanitaire international, n'est pas
authentique ni crédible du moment que la
Suisse poursuit la collaboration dans le domaine
militaire (production et achat de matériel
militaire, visites de délégations
de haut rang, services secrets) avec l'armée
et l'industrie militaire d'un Etat qui viole de
manière systématique le droit international
humanitaire.
En raison de son ampleur réelle, de sa
signification symbolique et politique, la coopération
militaire constitue aujourd'hui un sujet central
pour entreprendre en Suisse des démarches
concrètes en vue d'une solution non militaire
du conflit israélo-palestinien sur la base
des résolutions de l'ONU et du droit international
humanitaire.
Pour ces raisons, nous
demandons un moratoire immédiat dans la
coopération avec les industries d'armement,
l'armée et les services secrets de tous
les pays impliqués dans le conflit au Proche-Orient.
Ce moratoire doit rester en vigueur jusqu'à
l'application du droit international humanitaire
et des résolutions 194 (Assemblée
générale), 242 et 338 (Conseil de
Sécurité) de l'ONU.
En particulier, nous demandons aux Conseil fédéral
et au parlement de renoncer à l'achat pour
150 millions de francs de matériel militaire
en provenance d'Israël, prévu dans
le cadre du programme d'armement 2005.
Les organisations
suivantes soutiennent cette pétition (état
: 12 septembre 2005):
Association Suisse-Palestine,
Association suisse pour les droits humains (MERS),
Berner Mahnwache für einen gerechten Frieden
in Israel/Palästina, cfd l’ONG féministe,
Collectif Urgence Palestine Genève, Vaud,
Neuchâtel, Communauté de travail
Swissaid/Action de carême/Pain pour le prochain/Helvetas/Caritas/EPER,
DroitPourTous, EPER Entraide protestante, Groupe
pour une Suisse sans Armée GSsA, Œuvre
suisse d’entraide ouvrière OSEO,
Pain pour le prochain PPP, Palästina-Solidarität
Region Basel, Palästinakomitee Zürich,
Société pour les peuples menacés
SPM, Sozialistisch Grüne Alternative Zug,
Femmes pour la paix Suisse, Medico International
Schweiz, OeME Bern, Centre Europe-Tiers Monde
Genève, unia Genève, Jüdische
Stimme für einen gerechten Frieden zwischen
Israel und Palästina, Les verts - Parti écologiste
suisse, Parti Suisse du Travail, Kampagne Olivenöl
aus Palästina, Déclaration de Berne,
Junge Alternative JA!, terre des hommes suisse,
grünes bündnis, Jeunesse socialiste
Suisse, Gruppe ‘Olivenzweig’ Dialog
Israel Palästina Saint-Gall, Conseil de la
Paix Suisse, Fédération suisse des
femmes protestantes, BastA ! Bâle, Parti
socialiste suisse, solidaritéS Genève,
Comedia le syndicat des medias, Sozialistische
Alternative/Solidarität, Interprofessionelle
Gewerkschaft der ArbeiterInnen, unia, ssp le syndicat
des services publiques, ATTAC Suisse, brücke
– le pont, Women's International League
for Peace and Freedom Sektion Schweiz
<<
site officiel de la pétition : www.solidaires.ch
>
téléchargez la pétition en
français (format Word), signez-la,
faites-la signer et renvoyez-la au plus tard le
25 septembre 2005 à l'adresse suivante:
Collectif Urgence Palestine, 15 rue des Savoises,
1205 Genève
>
pétition en anglais (Word)
>
pétition en italien (Word)
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pétition en allemand (pdf)
La pétition de la Campagne
Européenne pour les Sanctions contre Israël
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nederlands, arabe et hébreu)
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Israël :
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Pétition
au parlement fédéral (détails) |
|
STOP
aux trafics d’armes de
la Suisse avec le Proche-Orient
pour une politique de paix crédible
non à l’achat d’armement israélien
|
|
Achat pour 150 millions de francs de
matériel militaire israélien dans
le programme d’armement 2005, exportations
de centaines de chars M 113 suisses vers l’Irak
et le Pakistan: pour le Conseil fédéral
le commerce des armes l’emporte devant toute
considération de politique de paix et de
respect du droit international humanitaire.
véhicule
avec émetteur
à usage multiple ESM |
Dans le cadre du programme
d’armement 2005, le conseil fédéral
envisage l’achat d’un système
d’écoute et de brouillage
à la société étatique
Israel Aircraft Industries - ELTA Systems
Ltd. (147,4 millions de francs pour le
système ESM – Electronic
Support Measure System, plus 3,4 pour
le transfert et la collaboration d’IAI
avec la RUAG, l’industrie d’armement
propriété de la Confédération)
(source:
programme d’armement 2005 www.armasuisse.ch)
|
Les drônes
sont utilisés entre autres pour la
surveillance de la population et pour l’exécution
d’assassinats extrajudiciaires, commis
en violation du droit international humanitaire.
|
rangerUAV coproduit
par la RUAG et IAI
photo www.israeli-weapons.com |
munition à
fragmentation pour l’artillerie
source: www.ruag.ch
|
Ces bombes
à fragmentation sont le résultat
de la collaboration entre les industries
militaires suisse (RUAG) et israélienne
(Israel Military Industries). Le CICR en
a demandé l’interdiction en
raison des effets mortels, dus aux ratés,
pour les populations civiles. |
La vente
de centaines de chars M 113 aux armées
Irakienne et Pakistanaise: selon le Conseil
fédéral encore une “contribution”
de la Suisse à la paix et à
la sécurité de ces pays en
guerre.
|
char blindé
M 113 de l’armée suisse |
NON à la coopération
avec les industries d’armement, l’armée
et les services secrets de tous les pays impliqués
dans les conflits au Proche-Orient.
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à M. Samuel Schmid
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Communiqué
à la Presse:
achat de matériel militaire israélien |
|
Programme
d'armement 2005 et achat de matériel militaire
israélien: une "normalisation" qui décrédibilise
l’engagement de la Suisse pour les droits humains
et les Conventions de Genève! |
|
Genève, 25 mai 2005
La décision du Conseil fédéral
d'inclure l'achat pour 150 millions de francs
de matériel militaire en provenance d'Israël
dans le programme d'armement 2005 fait suite à
l'annonce de M.Samuel Schmid, lors de sa visite
en Israël au mois de mars, de vouloir "normaliser"
les relations, notamment au niveau militaire,
avec Israël. L'achat prévu de matériel
militaire israélien constitue un soutien
au système militaro-industriel Israélien
et une caution à la poursuite des violations
systématiques du droit international commis
par l'armée et l'Etat d'Israël. Ces
violations, comme l'extension des colonies de
peuplement en Cisjordanie et la construction du
mur, se poursuivent aussi dans la phase actuelle
de relative diminution des actes de violence et
sont dénoncées par les principales
instances internationales (ONU, CICR, Cour Internationale
de Justice, Commission des Droits de l'homme)
ainsi que par le Conseil fédéral
lui-même.
Dans son avis condamnant la construction du mur
dans les Territoires occupés, la Cour Internationale
de Justice rappelle que "tous les Etats sont
dans l'obligation de ne pas prêter aide
ou assistance au maintien de la situation créée
par la construction du mur" et que "tous
les Etats parties à la convention de Genève
relative à la protection des personnes
civiles en temps de guerre, du 12 août 1949,
ont l'obligation, dans le respect de la Charte
des Nations Unies et du droit international, de
faire respecter par Israël le droit international
humanitaire incorporé dans cette convention".
De plus, la Suisse a été mandatée
par l'Assemblée générale
de l'ONU pour proposer des mesures à même
de faire respecter le droit international par
Israël.
Le GSsA et le CUP
soutiennent le postulat en cours de traitement
au parlement qui demande la suspension des achats
d'armements et de la collaboration militaire avec
tous les Etats impliqués dans le conflit
au Proche-Orient du temps que ceux-ci ne respectent
pas les résolutions de l'ONU les concernant
et le droit international humanitaire auquel ils
ont souscrit.
L'engagement de la Suisse, dépositaire
des Conventions de Genève, pour l'application
du droit humanitaire international, n'est pas
authentique ni crédible du moment que la
Suisse poursuit la collaboration dans le domaine
militaire (production et achat de matériel
militaire, visites de délégations
de haut rang, services secrets) avec l'armée
et l'industrie militaire d'un Etat qui viole de
manière systématique le droit international
humanitaire.
Pour ces raisons, le CUP et
le GSsA demandent au parlement
de corriger la décision prise aujourd'hui
par le Conseil fédéral et de renoncer
à l'achat pour 150 millions de francs de
matériel militaire en provenance d'Israël,
prévu dans le cadre du programme d'armement
2005.
Collectif Urgence Palestine
CUP, 15, rue des Savoises
1205 Genève
www.urgencepalestine.ch |
Groupe pour une Suisse
sans armée
GSsA, case postale 151, 1211 Genève
8
Tél. +41 22 320 46 76, fax +41 22 320
69 49
www.gssa.ch |
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communiqué du 25 mai 2005
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la lettre au format Word
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la réponse de M. Samuel Schmid
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Lettre
du CUP à M. Samuel Schmid,
Président de la Confédération |
|
Au sujet
de la collaboration militaire
avec l'Etat d'Israël |
|
Collectif Urgence Palestine Genève
15 rue des Savoises
1205 Genève
info@urgencepalestine.ch
www.urgencepalestine.ch
Collectif Urgence Palestine Vaud
CP 144
1000 Lausanne 9
info@urgencepalestine-vd.ch
www.urgencepalestine-vd.ch
|
Monsieur Samuel Schmid
Président de la Confédération
Conseiller Fédéral
Chef du DDPS
Palais Fédéral est
3003 Berne
Genève, le 20 avril 2005 |
Concerne : reprise de la collaboration
militaire avec l’Etat d’Israël
Monsieur le Président,
Monsieur le Conseiller Fédéral,
Le Collectif Urgence Palestine a été
particulièrement surpris et choqué
d’apprendre que vous confirmiez votre volonté
de reprendre la collaboration militaire avec le
gouvernement israélien. L’annonce
que vous avez faite lors de votre passage en Israël,
annonçant que l’Etat d’Israël
était un Etat « normal », qui
devait être traité comme tous les
autres, est surprenante.
Vous ne pouvez ignorer que la Cour Internationale
de Justice de la Haye, plus haute instance juridique
internationale, a rendu un avis le 9 juillet dernier
sur le comportement de cet Etat que vous qualifiez
de normal. La Cour ne s’est pas limitée
à déclarer le mur totalement illégal
en regard du droit international. Elle a procédé
à l’analyse juridique de l’histoire
de la région depuis la création
de l’Etat d’Israël en 1948.
Le résultat est sans appel :
-
Les colonies, sans exception,
sont illégales.
-
L’occupation des territoires
par l’armée israélienne
est illégale.
-
Les Conventions de Genève
et le droit international dans leur ensemble
s’appliquent aux territoires occupés
(Cisjordanie, Jérusalem Est et Gaza).
L’Etat d’Israël s’y
est toujours opposé tout en ayant signé
les Conventions de Genève et en restant
membre des Nations Unies.
-
Le mur, édifié
sur des territoires occupés par la
force, ne peut en aucun cas être justifié
pour des raisons de sécurité.
Il est de fait un instrument d’annexion,
qui vise à rendre pérennes les
colonies d’implantation en Cisjordanie
et l’annexion de Jérusalem Est.
Nous imaginons que vous n’êtes également
pas sans savoir que l’évolution du
droit international considère les implantations
comme un crime de guerre ; le transfert de populations
d’un pays occupant à un pays occupé
est donc un crime spécifique punissable
par le droit international.
Que le Président de la Confédération
helvétique, pays dépositaire des
Conventions de Genève, se hasarde à
déclarer l’Etat d’Israël
comme un Etat « normal » est particulièrement
déplacé et amoral.
Lors de la dernière conférence
du « Comité pour l’exercice
des droits inaliénables du peuple palestinien
», le 8 et 9 mars 2005 à l’ONU,
de nombreux juristes se sont succédés
à la table de conférence pour présenter
l’extrême précision de l’avis
de la Cour Internationale de Justice. Plusieurs
juristes ont également rappelé que
de collaborer avec un Etat qui viole de manière
systématique le droit international est
passible de jugement pour complicité. Nous
nous rappelons fort bien que le représentant
de la Suisse était présent lors
de cette conférence et qu’il n’a
sûrement pas manqué de rapporter
au Conseil Fédéral les propos des
juristes.
L’avis de la Cour, relayé par l’Assemblée
générale des Nations Unies à
la fin juillet, appelle les Etats à ne
rien faire qui puisse consolider l’état
de fait de l’occupation et de faire tout
ce qui est possible pour mettre fin à cette
situation illicite ; tous les moyens de pression
possibles étant légaux.
A notre avis, le temps des sanctions économiques
envers le gouvernement israélien est arrivé.
Et ceci jusqu’à ce que le droit international
soit respecté. Nous pouvons en effet légitimement
se poser la question de savoir si les accords
économiques impliquent une complicité
tacite de la Suisse à la construction du
mur, au renforcement de la colonisation en Cisjordanie
et à Jérusalem Est (confirmée
par le Premier ministre Ariel Sharon en mars)
et à la présence de l’armée
israélienne dans les territoires. Il n’est
même pas utile de préciser qu’en
ce qui concerne la collaboration militaire la
complicité est flagrante…
En raison des faits cités plus haut et
en espérant pouvoir encore croire que la
Suisse, Etat dépositaire des Conventions
de Genève, désire faire preuve face
à la situation dans les territoires occupés,
d’un comportement conforme au droit, nous
vous demandons de renoncer à cette reprise
de la collaboration militaire et de la suspendre
totalement tant que le droit international n’est
pas respecté par le gouvernement israélien.
En vous remerciant de votre attention et dans
l’attente de votre réponse, nous
vous prions de recevoir, Monsieur le Président,
Monsieur le Conseiller Fédéral,
nos salutations distinguées.
|
Collectif Urgence Palestine - Genève*
Collectif Urgence Palestine - Vaud |
Copies :
- Madame Micheline Calmy-Rey, Conseillère
Fédérale, Cheffe du Département
fédéral des affaires étrangères
- Madame Thérèse Meyer, Présidente
du Conseil National
- Monsieur Bruno Frick, Président du Conseil
des Etats
*Le Collectif Urgence
Palestine-Genève est un collectif d’associations
composé de : Association Suisse-Palestine,
Association des Palestiniens en Suisse, Centre
Europe Tiers Monde - CETIM, Comité Tunisie
en Suisse - CTS, Comité arabe de soutien
au peuple palestinien, Association France Palestine
Solidarité (Haute-Savoie), Union des Juristes
Arabes, AUPJP (Une terre, deux peuples), Aide
sanitaire suisse aux Palestiniens - ASSP, Groupe
pour une Suisse Sans Armée - GSsA, Ligue
des droits de l’Homme -Genève, solidaritéS,
Droit Pour tous, UNIA - GE, Syndicat Interprofessionnel
des Travailleuses et de Travailleurs (SIT), Syndicat
des Services Publics -GE (SSP-VPOD), AGRAF, Education
et Libération, Secours Social Palestinien
- Genève, Association Meyrin-Palestine,
Association Galice Solidarité -Bloque Nacionalista
Galego AGS-BNG, Femmes en noir - Genève.
>
la réponse de M. Samuel Schmid
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